Tragorh est né dans un petit village Tauren entre Nebkah et Silvek, dans les plaines au climat doux. Malheureusement pour lui, le village subit un raid de scylléens. Les tipis furent brûlés, le campement ravagé, les femmes violés et les hommes tués. C'était encore pendant un temps ou les scylléens faisaient preuve d'autant de barbarisme que les orcs, avant que les deux camps ne se calment. Mais dans cette escouade de pilleurs, il y avait un soldat plus altruiste que les autre, enrôlé de force dans l'armée scyléenne. Apercevant le jeune tauren du coin de l'œil, il décida dans un élan de bonté, de le prendre sous son aile. Il le prit cacha a dans son sac a dos et, une fois le raid terminé, vola le cheval le plus rapide et galopa jusqu'à Silvek, puis Heral'Dür et enfin Phandoras. Une fois rentré chez lui, dans son domaine de plantations aux alentours de la capitale, il présenta son protégé a sa femme, qui après quelques réticences, finit par adopter définitivement le petit. Tragorh grandit alors dans une famille de nobles humains, descendant de l'aventurier éponyme, sous la protection d'Ama Aèrmémis et de sa femme, Enet Aèmémis, ou il fut éduqué a la manière d'un humain. Il eut un frère quelques années plus tard : Bamla. Tragorh passa alors sa jeunesse dans cette famille aimante, faisant abstraction des préjugés racistes de la plupart des individus de l'époque. Il travailla jusqu'à ses vingts ans dans le domaine de ses parents, puis voyagea vers le nord, a la recherche de ses racines. Il devint commerçant itinérant entre Tulmak et Nebkah. Aujourd'hui, après avoir lu la biographie de son illustre ancêtre Duc de Tragorhie, il a décidé de tout plaquer, de vendre son vieux kodo et de partir a l'aventure.

Tragorh est calme et réservé. Il est relativement timide avec les inconnus, mais une fois qu'il connait un peu les gens, il se défroisse et fait preuve d'un humour teinté d'ironie ainsi que d'une honnêteté a toute épreuves. Commerçant pendant de longues années, il connait bien les ficelles a utiliser lors des conversations pour les mener a son désir. Lors des combats, il fait preuve le plus possible d'un sang-froids et d'une sévérité digne, quand il se bat, c'est jusqu'à ce que l'adversaire soit inapte a continuer le combat, et il n'hésitera pas dans ce cas a utiliser des coups fourbes tels que le jet d'une poignée de sable dans les yeux, ou d'un coup de pied bien placé dans les organes reproducteurs de l'adversaire.

Tragorh est un tauren de taille moyenne, s'élevant a un peu plus de deux mètres. Son pelage est de couleur blanc crème, et sa crinière est de couleur grise-sale. Il est de forte petite stature, même pour un tauren, ce qui paraitra quand même large pour un humain. Il tient ses sabots propres ainsi que le reste de son corps dans un état de propreté général. Ses yeux, bruns rougeoyants, sont asymétriques, en effet, son œil droit est marqué d'une forte hypermétropie, qu'il corrige a l'aide d'un monocle. Ses cornes, recourbés vers l'avant, son blanches, et il garde une longue barbichette qu'il tresse a la manière des nains, ainsi qu'une crinière descendant en pattes, cette fois a la manière des nobles scylléens.

A l'époque, c'était le design, le background et le fait de RP avec un vieux pote. Maintenant, c'est surtout el concept, le BG (auquel j'ai participé, normal que je l'apprécie (c'est qui qu'a fais 70% de Nebkah, ainsi que plein de magasins récupéré sur les anciennes versions ? C'est bibi !))
Race de ton personnage : Tauren, depuis ma rencontre avec eux sur la campagne de Warcraft 3, c'est a dire il y a bientôt près de huit ans (Ouch, l'âge en prend un coup), je suis fasciné par leur histoire et leur culture, qui a été joliment développé sur WoW (un truc bien au niveau du BG sur WoW c'est rare)

Ce qui crieront au "Oui il est MJ et il joue va y'avoir des débordements !" demanderont a Thangor et son frère si ils m'ont pas mit des gros bâton dans les roues sur les anciennes versions ou j'était MJ (a'z'y le troll qu'attaque que mon perso dans une foule, a'z'y l'ours qui attaque un pauvre chevaucheur de kodo sans défenses, a'z'y le tyrannus qui tombe sur un paumé dans la forêt...)